Il n'est pas rare de voir sur de très larges formats des personnes accoutrées bizarrement sur nos panneaux publicitaires. Ces images sont très souvent accompagnées de message tels: "As tu prier hier soir?", "Jésus sauve et guéris?" ,"Ton ciel est il ouvert?", "as tu trouvé le chemin du bonheur? et j'en passe. Ces images font une concurrence acerbe aux produits de grande consommation faisant de la religion un nouveau business donc le produit est Jésus Christ.
Ces images qui sont celles des pseudo ou des pasteurs envahissent nos rues, inondes les principales artères de la Ville de Yaoundé. Ces soi disant pasteur ne reculent devant rien pour faire leur business. ils écument le chaines de radio et de télé en longueur de journée promettant mont et merveilles. A la radio et à la télé ça passe encore mais de grâce enlevez vos laids visage sur le panneaux publicitaires de la ville. Laissez le panneaux au commerçants, aux grandes surfaces, aux organisateurs de spectacles... Occupez vous de sauvez les âmes de vos brebis.
dimanche 24 mars 2013
mercredi 6 mars 2013
LE NEUROMARKETING : DANGER !
Le Neuromarketing : peut être
définit comme l'étude des réactions du cerveau aux publicités, aux marques et aux
messages qui font partie du paysage culturel. Il a pour but de pénétrer
dans votre esprit pour connaître vos pensées et activer le bouton qui vous fera
acheter.
A- Les origines
du Neuromarketing.
Des études de marchés, aux
stratégies en passant par le mix-marketing, tout a toujours tourné, pour les
responsables du marketing, autour de deux obsessions : pénétrer dans votre
esprit pour connaître vos pensées et activer le bouton qui vous fera acheter.
Que dois-je faire pour que mon produit plaise, pour que ma marque reste gravée
dans la mémoire des consommateurs et comment agir sur leur comportement
d'achat ?
Au fil du temps, les
traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de
discussion ont montré leur limite. C'est bien connu que 80% à 90% des produits
lancés sur le marché, échouent au cours de la première année. Pourtant, des
études ont précédé leur lancement.
Le Neuromarketing se sert et met en pratique les
résultats des recherches qui sont expliqués dans les points qui suivent.
Marcel Just (Center for
Cognitive Brain Imaging, Carnegie Mellon University, Pittsburgh) et son
équipe ont mis au point un logiciel capable de reconnaître des mots auxquels on
pense sous IRM. Mots que l'ordinateur devine en regardant l'activité du
cerveau.
Interrogé à ce sujet, le
professeur Marcel Just aurait répondu : « Depuis quelques années,
on utilise l'IRM pour identifier le contenu des pensées. Grâce à de nouveaux
outils de traitement des données et des machines plus intelligentes, nous
sommes capables d'établir un lien entre un schéma d'activité cérébrale et un
certain type de pensée. Cela veut dire que quand nous pensons à une chaise, à
une pomme, à un marteau, ou n'importe quel objet physique, il se passe des
choses semblables dans nos cerveaux.
D'ici dix ou vingt ans, on n'aura plus besoin de l'IRM. L'activité électromagnétique du cerveau, sera détectée par de simples capteurs. On aura peut-être un petit matériel portatif, avec lequel on pourra voir ce qu'il se passe dans le cerveau d'un autre. Ce sera un peu comme un camp de nudisme mental. Je ne sais pas comment éviter que ce soit mal utilisé. C'est un nouveau savoir formidable. Ça peut sûrement être utilisé à des mauvaises fins. On s'inquiète à propos d'interrogatoires de police, du Neuromarketing, etc ... Bien sûr, on pourra l'utiliser pour de mauvaises raisons. Aujourd'hui, la coopération des gens est nécessaire. On doit faire exprès de penser à une pomme pour que ça marche. Mais au fil du temps, il faudra moins de coopération. Est-ce mauvais si chacun sait à quoi vous pensez ? Ce serait la fin de la vie privée. Au fur et à mesure que la science se développe, les possibilités de manipuler, en bien ou en mal, l'être humain sont absolument énormes. Je crois que nous pourrons modifier la race humaine. Voulons-nous créer une nouvelle espèce ? Je crois que nous en aurons les moyens.»
D'ici dix ou vingt ans, on n'aura plus besoin de l'IRM. L'activité électromagnétique du cerveau, sera détectée par de simples capteurs. On aura peut-être un petit matériel portatif, avec lequel on pourra voir ce qu'il se passe dans le cerveau d'un autre. Ce sera un peu comme un camp de nudisme mental. Je ne sais pas comment éviter que ce soit mal utilisé. C'est un nouveau savoir formidable. Ça peut sûrement être utilisé à des mauvaises fins. On s'inquiète à propos d'interrogatoires de police, du Neuromarketing, etc ... Bien sûr, on pourra l'utiliser pour de mauvaises raisons. Aujourd'hui, la coopération des gens est nécessaire. On doit faire exprès de penser à une pomme pour que ça marche. Mais au fil du temps, il faudra moins de coopération. Est-ce mauvais si chacun sait à quoi vous pensez ? Ce serait la fin de la vie privée. Au fur et à mesure que la science se développe, les possibilités de manipuler, en bien ou en mal, l'être humain sont absolument énormes. Je crois que nous pourrons modifier la race humaine. Voulons-nous créer une nouvelle espèce ? Je crois que nous en aurons les moyens.»
La science avance et Daria Knoch,
professeur au département de psychologie sociale et affective de l'université
de Bâle, a réussi l'exploit de modifier le comportement d'un sujet. Cette
scientifique de réputation internationale connaît de près les méandres du cortex
préfrontal latéral, une zone qui joue un rôle important dans la prise de
décision. Daria Knoch a mis au point une technique permettant de désactiver
temporairement cette zone donc d'influencer directement votre comportement et
vos décisions. Il s'agit de stimulations magnétiques, indolores et non
invasives. Les impulsions pénètrent dans le cortex frontal et en neutralisent
une petite zone.
Nos recherches démontrent clairement, explique Daria Knoch, nous l'avons
constaté au travers de neuf études, que lorsque nous stimulons une zone bien
précise sur la partie frontale du cerveau, les gens peuvent changer de
comportement en devenant par exemple plus impulsifs, moins corrects. Et on peut
agir aussi sur d'autres dimensions du comportement comme celui du consommateur face
à produit.
C'est le propre du marketing et de la psychologie appliquée aux
consommateurs que de l'influencer ou de le manipuler de le faire adopter des
décisions qu'ils ne voulaient pas prendre.
Un
petit conseil faites attention aux odeurs des produits, elles sont
scientifiquement prouvées, dans les rayons des supermarchés. Très souvent,
elles sont conçues de telle enseigne qu’elle influence directement la partie du
cerveau susceptible de déclencher l’acte d’achat
dimanche 3 mars 2013
MARKETING:COMMENT TROUVER UN NOM DE PRODUIT ACCROCHEUR?
Les noms de produit ont un impact
significatif sur la vente ou non de ces derniers. Pour les trouver pas question
d’improviser, il faut respecter une démarches que nous allons vous expliquer
dans les lignes qui suivent.
Les préalables
Pour trouver un nom de produit
accrocheur il est souhaitable de se poser un certain nombre de questions :
·
A qui votre produit est-il destiné ?
·
Quels sont ses atouts ?
·
Quels noms portent les produits
concurrents?
·
Quelle est votre cible (marché, ville, pays) ?
·
S’intégrera-t-il à une gamme existante ou non
Après avoir répondu à ces
questions, vous pouvez fixer le cadre général de la recherche du nom. Sera-t-il
dans une langue précise ou un néologisme ? Composé ou en un seul
mot ?
La création
Dans cette étape vous pouvez
réunir une dizaine de personnes du domaine ou chacun fera à la volée de
propositions. Votre travail consistera à recueillir toutes ses idées. Aucune idée
n’est à bannir car une idée apparemment moins insignifiante peut servir de base
à une autre, plus significative. Vous devez retenir enfin de cette étape une
short- list de 10 noms.
Le choix judicieux
De la short-list éliminé au fur
et à mesure ceux qui ne sont pas assez porteur d’universalité. En effet, le
meilleur choix sera celui qui est porteur d’une bonne charge universalité. La création d’un produit qui peux passer dans
tous les marchés peut bénéfique en cas d’extension.
Enfin, lorsque vous aurez déniché
un super nom pour votre produit ne jubiler pas tout de suite. L’idéal serait,
d’aller d’abord vérifier si ce nom n’a pas encore été déposé par quelqu’un
d’autre dans une institution de propriété intellectuelle ou industrielle. Si
c’est le cas choisissez un autre nom. Dans le cas contraire, protéger votre nom
auprès de la dite structure.
Inscription à :
Articles (Atom)