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mercredi 19 décembre 2012

ALERTE: RESEAUX SOCIAUX ET FORUM DE DISCUSSION


Chers jeunes camerounais au moment où internet et tous les réseaux sociaux qui vont avec prennent de plus en plus de l’ampleur dans nos cités il est temps de nous interroger. Notre interrogation doit porter sur l’utilisation des différentes informations que nous fournissons ou que nous publions quand on sait que tout ce que nous faisons sur le net peut être enregistré et stocké quelque part.
Certains sites, au moment de l’enregistrement demande une multitude d’informations sur la personne qui s’enregistre l’on n’est en droit de se demander où vont tous ces donnés et qu’est ce que l’on fait avec par la suite.
Les forums de discussion sont des vitrines par excellences de la liberté d’expression. Devons-nous dire tout ce que l’on pense ? Non je ne pense pas. Évitons de tenir de propos qui peuvent nous valoir des poursuites judiciaires (dû aux diffamations, atteinte à la personnalité…). Si c’est contre les dirigeants, ils peuvent facilement nous retrouvé. Enfin, une idée défendue aujourd’hui sur un forum pourrait être notre tendon d’Achille au cas où plus tard nous embrasserions une carrière politique par exemple. Dans se sens que on peut défendre une idée en étant plus jeune et soutenir le contraire à l’âge adulte. Beaucoup de carrières politiques se brisent à cause des idées soutenues dans un forum de discussion.
Dans les réseaux sociaux  les effets sont encore plus immédiats. Un message destiné à une seule personne peut malencontreusement être envoyé à des milliers des personnes. Un ministre français en a fait les frais tout récemment.   
Soyons prudents, n’envoyons pas vos photos et commentaires à n’importe qui car ces données peuvent publier à une vitesse extraordinaire et sortir très vite de notre sphère de contrôle. Et devenir une arme que l’on pourrait se servir contre nous .alerte


mardi 27 novembre 2012

MINESEC:CINQ IDEES DE PROJETS POUR L'EDUCATION AU CAMEROUN


Projet 1 : conception et développement d’un logiciel d’aide à l’orientation scolaire et académique.
Constat de départ
Nous constatons que dans le système camerounais beaucoup d’élèves arrêtent prématurément l’école parce ce que : pour certains, la série ou la filière choisie ne correspond plus à leur aspiration (le choix a été imposé par les parents, influencé par un ainé ou par l’effet de mode ou enfin ils n’ont pas consulté le conseiller d’orientation comme c’est très souvent le cas). Pour d’autres, ils constatent qu’ils n’ont pas les aptitudes nécessaires pour continuer dans la série ou la filière choisie. L’élève dégouté par son choix n’a plus la motivation et abandonne en cours de route sa formation venant ainsi augmenter le nombre de sans emploi sans qualification.
Justification du projet
Ce logiciel vise à donner l’opportunité à chaque élève ou étudiant camerounais d’être orienté académique selon ses aptitudes, ses aspiration, ses visées, ses ambitions. En effet, chaque personne utilisant ce logiciel aura la possibilité d’entrer certains paramètres informations. A la base des informations le logiciel va lui proposer une série ou une filière qui lui convient.
Cible du projet ou utilisateur Projet
La cible ici est la communauté éducative en général et l’élève ou l’étudiant en particulier.

Projet 2 : Conception et réalisation système de suivi d’un élève dans le système éducatif camerounais (portfolio électronique).
Constat de départ
Il a été constaté une absence de trace sur le parcours d’un élève dans le système éducatif camerounais. Pour connaitre le parcours il faut parfois aller fouiller dans les archives des établissements qu’il a fréquentés. Cette tâche s’avère très fastidieuse surtout si l’élève était « un oiseau migrateur ».
Justification du projet
Ce projet a une importance capitale. Par exemple sur l’orientation, le recrutement, le renvoi d’un élève. Il est souhaitable d’avoir l’information la plus complète sur l’élève en question avant de prendre la décision. Par conséquent, lorsqu’on est tenu par les impératifs temporels parcourir tous ses anciens établissements pour voir quel genre d’élève il a toujours été est quasiment impossible. La solution la plus simple serait d’entrer son nom dans le système pour avoir tous les détails lui concernant. Ainsi à la base des ses informations, prendre une décision.
De plus le système pourra faciliter la production automatisée des statistiques sur l’ensemble du territoire national.
Cible du projet ou utilisateur Projet
Toute la communauté éducative en général, les responsables en charge de l’éducation nationale et les chefs d’établissement en particulier.
Projet 3 : Conception et réalisation d’une plateforme numérique de soutien aux élèves
Constat de départ
Beaucoup d’élèves ont de parents qui sont soit très occupés, soit incapable d’embaucher un répétiteur, soit incapables de répéter leurs enfants car n’ayant pas les connaissances dans la matière étudiée.par conséquent  ces élèves se retrouvent très souvent seule face à la compréhension de leur cours et la pratique de leur devoir. Ceci conduisant à la baisse de niveau voir à l’échec scolaire.
Justification du projet
Pour accompagner les élèves dans leur étude un système de suivi en ligne doit être mis sur pied. A travers celui-ci chaque élève et chaque enseignant muni de son login peut se connecter. Ainsi l’élève pourra (après avoir choisit la matière puis son niveau ou sa classe) recevoir du soutient de la part d’un enseignant connecté répondant aux critères entres par l’apprenant (classe et matière).
Cible du projet ou utilisateur Projet
Les élèves, les étudiants et les enseignants du Cameroun.

Projet 4 : Conception et fabrication des ordinateurs fonctionnant avec l’énergie solaire.
Constat de départ
Nul censé ignoré l’importance des TIC dans tous les domaines de la vie à l’heure actuelle. Leur introduction dans le système éducatif camerounais fait face un certain nombre de problèmes tel que le manque de matériel  informatique et surtout  l’insuffisance du Cameroun en couverture électrique. En effet, beaucoup de localité non pas de courant au Cameroun. Par conséquent, les enseignants enseignent sans ordinateur. Ainsi, dans ces zones l’informatique restent dans la théorie. Quand on sait que les élèves de ces zones font les mêmes épreuves que ceux des grandes villes du pays. Cet état de chose les faits apparaitre comme des défavorisés. L’autre constat  est le fait qu’avec les exigences de la nouvelle série TI, cette dernière ne peut pas être mise en place de manière efficiente.
Justification du projet
Ce projet vise à donner la possibilité d’avoir des ordinateurs à tous les établissements des régions non électrifiées du Cameroun. En effet, nous savons qu’en Afrique ce qui manque le moins c’est le soleil. Ainsi, cette dernière doit constituer une source d’énergie pour nos ordinateurs scolaire surtout quand on sait que les cours ont généralement dans la journée. Donc concevoir et fabriquer un ordinateur solaire sera très bénéfique pour le système éducatif camerounais (vulgarisation des l’apprentissage des  TIC et réduction du coût énergétique).
Cible du projet ou utilisateur Projet
Communauté éducative des zones du Cameroun non électrifiées.

Projet 5 : Un réseau social et académique réservé aux anciens élèves de l’ENS de Yaoundé.
Constat de départ
Les enseignants une fois sortis de l’ENS se perdent très souvent de vue (temps, affectations éloignées, téléphones égarés…) alors que beaucoup aimerait rester en contact.
Les enseignants non pas un espace pour discuter de leur pratique de classe, de leurs difficultés sur  le terrain et surtout de leurs conditions de travail.
Justification du projet
Ce réseau permettra aux enseignants de rester en contact en se connectant tout simplement quel que soit l’endroit où il se trouverait (la zone doit être connectée évidemment à internet). Car chacun de nous aimerait bien avoir les nouvelles de tel ou telle promotionnaire même après plusieurs années.
Les enseignants doivent aussi avoir un espace qui leur ai réservé où ils pourront discuter de leur profession, des problèmes qu’ils rencontrent dans l’exercice de leur fonction, de leur condition de travail, apportés de solutions aux problèmes soulevés, d’entretenir un chaine de solidarité et d’entraide….
Cible du projet ou utilisateur Projet
Tous les anciens étudiants de l’Ecole normale Supérieure de Yaoundé.

mercredi 7 novembre 2012

L’ENERGIE SOLAIRE AU CAMEROUN.


L’énergie solaire est une énergie gratuite du moins après avoir acquis les équipements nécessaires. Au Cameroun beaucoup de ne sont pas encore connecté au réseau électrique, leur alternative peut être l’énergie solaire. Ceci justifie le fait que l’énergie solaire soit classée parmi les sources d’énergies alternatives.
Mais la vulgarisation de ce types de source d’énergie n’est pas encore effective au Cameroun, ceci pour plusieurs raisons :
·         les taux d’imposition douanière trop prohibitifs. Ils peuvent atteindre 40%.
·         l’absence de mesures incitatives pour faciliter l’importation du matériel.
·         L’installation des équipements relatifs à l’énergie solaire est encore très exorbitantes pour la majorité des camerounais. Ces derniers estiment que les prix sont très exorbitants.
·         La quasi inexistence de communication sur les quelques initiatives dans ce domaine.
Beaucoup d’états africains tels que le Maroc, la Tunisie, l’Afrique du sud et tout récemment le Sénégal ont largement vulgarisé ce type d’énergie.
Le Cameroun gagnerait a encouragé le développement de toute initiative dans ce secteur. En effet, non seulement beaucoup de localités du Cameroun vont sortir du noir mais l’émergence du pays en serait facilitée.
Energie solaire pour un Cameroun émergent.
Oui, l’énergie solaire peut accélérer l’émergence du Cameroun. L’idée qui  soutient cette affirmation est toute simple. Avec l’énergie solaire, le développement de nouvelles technologies et surtout l’apprentissage de l’informatique vont connaitre une avancée fulgurante dans tout le pays.
En effet, s’il est vrai (comme s’accordent à dire les spécialistes en la matière) que l’on peut apprendre l’informatique sans ordinateur il est tout aussi vrai que apprendre l’informatique avec l’ordinateur est cent fois mieux.
Pour toutes les localités du Cameroun ou l’on ne peut apprendre l’informatique sans ordinateur, il sera possible de le faire grâce à l’énergie tirée du soleil.
L’idée est que l’on installe dans chaque établissement public, des localités non encore électrifiés, des panneaux solaires qui pourront alimenter les salles multimédia pour les travaux pratiques et dirigés. Pour ce qui est des établissements privés, il faut que l’octroi de l’agrément d’ouverture soit conditionné par l’existence d’une salle multimédia bien équipé.
Pour en venir à notre idée de départ nous pensons que le développement de va se faire non seulement par le développement du secteur de l’agro alimentaire mais aussi par l’acquisition et l’appropriation des nouvelles technologies. Cette appropriation passe par la formation. Tout les jeunes camerounais en âge scolaire doivent maitriser l’informatique et de surcroit l’usage de l’ordinateur. La réduction de la  fracture numérique passe nécessairement par là. Et par ricochet l’émergence de notre cher et beau pays le Cameroun.

vendredi 26 octobre 2012

LA MEMOIRE : COMMENT LA RENDRE INFAILLIBLE ?


Voici quelques  procédés mnémotechniques les plus efficaces qui vous serons utiles dans certaines situations.

Mémoriser un document : classez les infos par questions
Vous avez a enregistré un volumineux document, marche à suivre :
-ne vous jeter pas à corps perdu dans ce dossier : commencez par coucher sur le papier les quinze ou vingt questions que vous vous posez sur le sujet. Puis, armez-vous d’un crayon, entamez une lecture rapide. Dès qu’un élément de réponse à une question apparaît, soulignez-le. Relisez ensuite les paragraphes ainsi repérés pour vérifier qu’ils répondent bien à vos interrogations.
-organisez les informations que vous avez mises en relief sur une ou plusieurs fiches. Il s’agit de s’approprier les nouvelles données en les manipulant  soi-même. La méthode la plus efficace consiste à créer une arborescence. D’abord quelques branches pour les informations principales, qui se divisent-elles même en éléments plus détaillé (le mieux est de les ranger dans une structure qui vous soit familières.
-au final vous n’aurez plus qu’à mémorisez votre arborescence et quatre ou cinq noms au bout de chaque branche.
Sachez aussi qu’un organigramme se fixe mieux dans le cerveau qu’une liste, et qu’il en va de même pour un graphique par rapport à une série de chiffres. Pour terminer, relisez vos fiches, puis essayez de répondre de tête aux questions que vous vous posiez.

Parler en public : aidez-vous d’une « carte mentale »
Se passer de ses notes permet de regarder son public et de se déplacer en toute liberté : l’éloquence et le pouvoir de conviction en sont renforcés. Pour ce faire, rien ne vaut la technique de la carte mentale.
Elle consiste à dessiner un schéma où vous intégrez les mots-clés de votre discours, puis à le mémoriser. Ce schéma peut représenter les branches d’un arbre, un paysage ou les pièces de votre appartement que vous arpenterez selon un itinéraire bien précis. Le procédé est encore plus efficace si vous y ajoutez des symboles illustrant les idées à retenir (on se souvient beaucoup mieux des images que des idées.
Pendant votre allocution, visualisez mentalement votre dessin. Et pour que votre intervention soit parfaitement fluide le jour J, répétez, si possible, sur les lieux de votre speech. N’hésitez pas occuper l’espace, comme  le font les acteurs (les gestes et le décor de bons points de repère).
Et si malgré tout survient un trou de mémoire ? Surtout pas de panique : arrêtez vous, respirez, souriez, puis reprenez lentement voter dernière idée en la reformulant différemment. Bref, faites comme si vous marquiez une pause dans votre exposé pour vous assurer que toute l’assistance a bien suivi. Logiquement votre cerveau devra se débloquer. Sinon ? Développez une autre idée.

Apprendre une langue : mettez vous dans le bain
Contrairement à une idée répandue, on peut s’initier au mandarin ou devenir un crack en astronomie à n’importe quel âge.
-Imprégner son cerveau de tout ce qui est rapport avec le sujet. Plus une information entre par des canaux différents, plus elle a de chances de s’imprimer. Pour une langue étrangère, l’idéal est d’entretenir une correspondance régulière avec des personnes qui la parlent depuis leur naissance, de lire des journaux, de regarder des DVD en version originale sous-titré…
-le deuxième principe consiste à réviser régulièrement ce qu’on vous à enseigné. Mois de 24 heures après avoir appris quelque chose, 75% des informations ont disparus de votre cerveau. Pour limiter cette déperdition il faut réactiver vos souvenirs dix minutes après l’enregistrement de informations, puis 24 heures, une semaine, un mois, six mois, et un an après… c’est la seule façon de faire passer les données de la mémoire à court terme dans la mémoire à long terme. A chaque fois, cinq à dix minutes de piqure de rappel sont suffisantes.

Retenir des codes et des dates : donnez du sens aux chiffres
Rien de plus difficile que d’apprendre des listes de chiffres ou de mots s’ils n’évoquent rien pour vous. Utilisés depuis l’antiquité, des procédés mnémotechniques permettent de créer un lien (réel ou artificiel) entre des éléments nouveaux et d’autres qui vous sont familiers. Tout le monde connait le célèbre « Mais où est donc Ornicar ? » qui rassemble les conjonctions de coordination. Vous avez peut-être aussi appris à l’école la phrase « Mon vaisseau te mènera jeudi sur une nouvelle planète » : elle permet, grâce aux initiales de chaque mot, de retrouver les planètes du système solaire en allant de la plus proche à la plus éloignée du Soleil (de Mercure à Pluton). A vous d’inventer vos propres astuces.
Très astucieux aussi : le code inventé par un français au XIXe siècle, qui associe chaque chiffre à une consonne grâce à une astuce mnémotechnique.3=m car le chiffre une fois couché ressemble à la lettre, 5=l car en majuscule (L), cette lettre signifie 50 en chiffres romains, ou encore 0=z comme zéro. Etc. on peut ainsi transformer une date en une suite de lettres avec lesquelles on forme un nom plus facile à retenir. Exemple : la date de la défaite de Waterloo est 1815, ce qui donne pour 815 : f-t-l. Ces lettres évoquent le mot « fatal », qui résume bien l’événement. Pour retenir une suite de mots, racontez-vous une histoire. Si vous devez apprendre la liste de produits dont le prix a le plus augmenté en hypermarché (par exemple : « shampooing, fruits, biscottes, cire »), assemblez-les en une phrase fantaisiste. Ce qui peut donner : « Je me suis fait un shampooing aux fruits avant d’aller manger une biscotte sur la toile cirée de la cuisine. »

Se souvenir d’une tache : imaginez-vous en train de la faire
Votre chef vous presse de boucler votre dossier. Votre principal client vous harcèle et c’est votre anniversaire de mariage ce soir. Autant dire que vous n’avez pas intérêt à oublier des fleurs ! « Quand on trop de choses à faire dans une journée, il est fatal qu’on fasse l’impasse sur quelques-unes ». Comment penser à allez chez un fleuriste avant de rentrer chez vous, sachant que vous ne passerez pas devant la boutique ?
Dans la journée, prenez  un moment pour vous visualiser mentalement en train d’aller chez le fleuriste. Imaginez votre itinéraire : 100 mètres avant votre domicile vous tournez à gauche plutôt qu’à droite pour vous rendre chez le fleuriste. A l’embranchement, l’image sera activée automatiquement. » Autre option : pensez à la scène de reproches à laquelle vous aurez  droit encas d’oubli. Très efficace aussi…

Se rappeler d’un nom : associer-le à un détail physique
 Quand vous rencontrez une personne pour la première fois : serrez lui la main pendant près de trois secondes en regardant votre interlocuteur droit dans les yeux, demandez son nom et répétez à haute voix. En un mot il faut faire attention à toute personne dont vous faites la connaissance.
Une astuce est de retenir la forme du visage. Puis un détail : calvitie, des pommettes saillantes, cicatrice. On peut ajouter le rire, l’accent… Ces éléments constituent une aide précieuse pour faire entrer les caractères d’un individu dans votre ordinateur mental. Bien sur, plus vous prendrez le temps de discuter avec lui, plus ce sera facile. Il vous suffira ensuite, pour retrouver son nom et impression qu’il vous a faite, de vous remémorer le contexte dans lequel vous avez connaissance, les choses que vous vous êtes dites…
N’hésitez pas non plus à faire fonctionner votre imagination en vous aidant de la sonorité du nom et des caractéristiques physiques de la personne. Parfois c’est simple : monsieur Lenoir a les cheveux blancs, madame Appréti est « apprêtée ».
Pour les cas moins évidents, associez une image mentale au nom : imaginez un coin de verdure pour madame Verdu. Demandez-vous si le cinéaste Won Kar-Waï aime les monnaies asiatiques (won), les voitures (kar), et pourquoi ? (why). Chaque cas étant unique, il n’existe pas de moyen mnémotechnique pour tous les noms. Mais en s’adonnant régulièrement à cet exercice, on finit toujours par trouver un lien plus ou moins direct entre une personne et son patronyme. 

samedi 13 octobre 2012

LA RUMEUR : COMMENT L’EVITER OU LA TAIRE ?


Souvent lancée dans l’intention de nuire, la rumeur est ensuite colportée pour des raisons diverses : peur, jalousie, simple désir de paraître « au courant de tous les dossiers et dernières infos ». La rumeur peut ruiner une réputation, installe un climat détestable et avoir un effet dévastateur sur votre activité. Que vous soyez ou non directement  victime, voici ce que vous devez faire.
Refuser de vous prêtez au jeu et allumer des contre-feux.
Pour éviter de devenir un jour la cible, commencer par refuser de vous prêtez au jeu lorsque d’autres sont visés. Chaque fois que l’on vous glisse une confidence suspecte, adoptez un comportement intransigeant. Refreiner son ardeur avec des questions du type : « Qui te l’a dit ? As-tu vérifié cette nouvelle ? Pourquoi me l’annonces-tu à moi ?
Ce bref interrogatoire permet aussi, parfois, de remonter à la source. Si vous identifier le coupable, organisez une confrontation en tête à tête. Sans trahir votre source, dites-lui que vous savez qu’il propage des informations douteuses et qu’il ferait mieux d’arrêter.
D’une manière plus subtile, et tout aussi efficace, vous pouvez allumer des contre-feux. Vous réduisez les risques d’être victime d’une rumeur si vous avez l’habitude de communiquer fortement autour de vous. En toute occasion, prêchez le contraire de ce qui circule dans les couloirs, notamment auprès des bavards patentés. On insinue que vous avez des problèmes de santé ? Vanter vos exploits sportifs dans votre club ou groupe de sport. On prétend que vous avez des avec votre conjoint ? Raconter votre week-end en amoureux au bord de la mer. On dit que vous êtes fauché ? Vanter l’achat d’un autre terrain. Plus vous martèlerez vous-même des messages vous concernant, plus les personnes qui vous entourent seront tentées de penser dès qu’une médisance parviendra à leurs oreilles : c’est impossible, il nous l’aurait dit lui-même.
Repérez les lieux propices ragots et crevez l’abcès.
Si vous êtes le supérieur hiérarchique : dans l’entreprise dont vous tenez les rênes afin de tuer le ragot dans l’œuf, mieux vaut prendre les devants et noyauter les foyers de désinformation, c'est-à-dire les « lieux ou l’on cause ».
Le perron occupé par les fumeurs, la machine à café le restaurant d’entreprise sont autant de lieux propices à la diffusion d’une rumeur. Aménagez ces espaces de façon qu’ils se trouvent dans un endroit exposé, visible de tous, et n’invitant plus aux confidences. Placez, par exemple, la machine à café dans un couloir passant. Vous pouvez affecter les récalcitrants à des missions les obligeant à se déplacer fréquemment.
S’il est trop tard pour user de la seule prévention, si les médisances ou les fausses nouvelles se multiplient, il ne vous reste qu’une solution : démentir en bloc et ouvertement. Conformément à la rumeur « il n’ya jamais de fumer sans feu », la rumeur porte parfois une part de vérité. Mais une part seulement. A chaque étape de sa diffusion, elle enfle un peu plus. Mieux vaut alors réunir rapidement votre équipe ou entourage et crever l’abcès. Aborder franchement le sujet et revenez aux faits pour dégonfler le propos.
 

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